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Le blog du Credit Manager 2.0
28 avril 2014

Près de 17.000 défaillances d'entreprises ont été enregistrées en France au premier trimestre, en hausse de 3,4% sur un an, selo

 (Sipa) (Sipa)

Près de 17.000 défaillances d'entreprises ont été enregistrées en France au premier trimestre, en hausse de 3,4% sur un an, a annoncé mardi 15 avril le cabinet Altares, qui relève toutefois une amélioration pour les sociétés les plus importantes.

Lors des trois premiers mois de l'année 2014, 16.858 procédures de sauvegarde, redressement judiciaire ou liquidation judiciaires ont été prononcées au total, contre 16.310 lors du premier trimestre 2013, a précisé Altares dans un communiqué.

 
 

La situation est cependant très contrastée puisque les défaillances de PME de plus de 50 salariés atteignent leur niveau le plus bas depuis la crise, en baisse de 28%, alors qu'à l'inverse les TPE continuent de souffrir, avec un nombre de défaillances en hausse de 14%.

"Dans une conjoncture qui manque encore de tonus et de perspectives, la reprise profite en amont aux acteurs du +B2B+ (commerce entre entreprises, ndlr) mais se fait attendre pour les TPE dépendantes de la consommation des ménages", a détaillé Thierry Millon, responsable des études chez Altares.

62.800 salariés touchés

Le nombre d'emplois concernés est important: 62.800 salariés sont touchés par la L'élevage agricole (46%), la http://www.challenges.fr/entreprise/20140415.CHA2746/les-defaillances-d-entreprise-en-hausse.html

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22 avril 2014

Les défaillances d’entreprises augmentent de 3,4 % sur le 1er trimestre 2014 (Altares)

16 446 entreprises sont en cessation de paiement, comme en 2009

62 800 emplois sont directement menacés sur ces 3 premiers mois.

Les difficultés se concentrent sur les micro-entreprises (+14%) ; À l’inverse, les défaillances de PME de plus de 50 salariés sont au plus bas depuis la crise (- 28 %).

Les micro-entreprises, payent un lourd tribut.
Sur les trois premiers mois de l’année, 7 000 entrepreneurs sans salarié ont été contraints de déposer le bilan. La plupart d’entre eux se sont présentés devant le tribunal dans une situation financière à ce point fragile que 80 % ont été immédiatement liquidés. Les structures anciennes enregistrent les dégradations les plus sévères sur ce début d’année. Pendant que les défaillances d’entreprises de moins de trois ans reculent de 8 %, celles de plus de cinq ans augmentent de 8 %. Cette vulnérabilité des micro-entreprises, présentes sur l’ensemble du territoire et des secteurs, propage le risque sur la plupart des régions et des activités de B2C, comme les services aux particuliers, le bâtiment ou le commerce de détail.

Les sociétés de plus grande taille s’inscrivent sur de meilleures tendances ; les défaillances de PME de plus de 50 salariés n’ont jamais été aussi peu nombreuses (113) depuis la crise (189 en 2009T1). Cette meilleure résistance se traduit par un millier d’emplois préservés par rapport à début 2009 ; Si encore 62 800 emplois sont directement menacés par les défaillances d’entreprises de ces trois premiers mois, ils étaient 73 700 sur le premier trimestre 2009. De plus, l’essentiel des PME a obtenu du tribunal de poursuivre l’activité sous redressement judiciaire, leur permettant ainsi d’étudier la mise en place d’un plan de sortie de procédure… « Cependant, les deux tiers de structures financières trop fragilisées n’y parviendront pas.» prévient Thierry Millon.

Seule la moitié des PME défaillantes est à jour de publication de comptes (bilan 2013 ou 2012). Et pour celles dont le dernier bilan publié est antérieur à 2012, la moitié seulement dégageait encore un bénéfice.


  • Focus chiffres
    16446
    entreprises en cessation de paiement


  • 62800
    emplois menacés


Les cartes

carteDefT12014

Télécharger l'étude (.pdf)
19 mai 2014

Défaillances en Europe centrale et orientale en 2013: Un niveau record, avec 70 000 entreprises touchées

Défaillances en Europe centrale et orientale en 2013: Un niveau record, avec 70 000 entreprises touchées

> 2013 a dépassé le pic de 2012 : une augmentation de +5 % des défaillances dans les PECO[1], due au ralentissement de la zone euro et aux restrictions budgétaires

> Secteurs les plus performants : informatique, enseignement et santé

> Secteurs à la traîne :construction, commerces de gros et de détail

> Un taux de défaillances[2] enfin stabilisé en 2014 et 2015? 

Les entreprises dans la région des PECO ont traversé une année 2013 difficile. La conjoncture économique, déjà mauvaise, s’est détériorée et la consommation des ménages a baissé à cause des mesures budgétaires prises pour juguler l’envolée des déficits publics. L’accès au crédit s’est durci, en ligne avec la contraction à la fois de la demande et de l’octroi de nouveaux prêts. Cette situation a directement affecté les entreprises, en les obligeant à revoir à la baisse leurs objectifs de ventes. De plus, les exportations, qui devaient contribuer à la croissance du PIB, ont été pénalisées par le ralentissement de l’économie de la zone euro, principal débouché des PECO.

 

graph-1-fr

Résultat : près de 70 000 cas de défaillances en 2013, soit une hausse de +5% sur un an pour l’ensemble de la région. La Bulgarie a enregistré la progression la plus forte, +39% (834  cas). Ce record provient de la baisse de la demande, de la difficulté d’accès au crédit et du manque de programmes d’appui aux entreprises. Si l’on exclut la Hongrie où la chute des défaillances est due à un changement de législation, la Lettonie est la seule bonne nouvelle de la région. Le nombre de défaillances y a diminué de 7 %, une tendance positive qui s’explique par la croissance du PIB (4,6 %) et de la consommation des ménages. 

« Les PECO ont été confrontés à un environnement commercial difficile l’année dernière. Ces pays ont souffert d’une consommation des ménages orientée à la baisse, mais aussi de la récession en zone euro, leur principale destination commerciale. La République tchèque, qui dépend fortement des exportations vers l’Europe de l’Ouest, en est la preuve flagrante, tant du point de vue macroéconomique (récession depuis deux ans) que microéconomique (brusque hausse des défaillances de 26 % en 2012 et de 32 % en 2013) »,explique Grzegorz Sielewicz, économiste pour l’Europe centrale et orientale à Coface.

 

Le secteur de la constructionpénalisé par le contexte économique 

La demande atone, la baisse de la consommation des ménages et la concurrence accrue ont un effet direct négatif sur les commerces de détail et le commerce de gros. Pendant le second semestre 2013, une reprise progressive a été entamée après un passage à vide, grâce à la faible inflation et à un retour de la confiance des consommateurs. 

Le secteur de la construction demeure particulièrement sous tension dans les PECO. En 2013 il n’y a eu aucun signe d’amélioration de ses performances qui restent mauvaises depuis un moment. Par effet domino, cela a pénalisé d’autres secteurs liés à la construction (métallurgie, fabricants d’équipements). L’avenir proche s’annonce tout aussi sombre. Les fonds provenant du nouveau budget de l’Union européenne pour la période 2014-2020 ne pourraient avoir un impact sur la situation financière des entreprises du secteur qu’à la fin 2014, voire plus tard. En outre, les entreprises hésitent toujours à investir, n’étant pas convaincues que le ralentissement économique touche à sa fin, ni que la reprise soit proche.

 

Une évolution divergente des taux de défaillances en 2014 

Le premier trimestre 2014 présente des perspectives économiques encourageantes. D’après les prévisions de Coface, le taux de croissance moyen des PECO passera de 1,1 % en 2013 à 2,0 % en 2014. Les pays baltes resteront dans le peloton de tête, avec la Lettonie et la Lituanie qui devraient enregistrer une croissance de respectivement 4,2 % et de 3,4%. Les autres PECO auront aussi des taux de croissance supérieurs à ceux de 2013. Les exportations et la consommation des ménages seront les principaux moteurs de la croissance. Dans ce contexte, les entreprises devraient être plus confiantes dans leurs transactions et les investissements. 

Malgré la reprise, le taux de croissance en Europe de l’Ouest devrait se maintenir à un niveau modéré (1 %). Ce sont l'Autriche et l'Allemagne, les économies les plus stables, qui tireront la croissance, avec un taux de 1,7 %. Favorisés par les taux de chômage les plus bas d’Europe, des hausses salariales et la progression de la demande externe, ces pays profiteront aussi du redressement de la consommation des ménages. 

Les entreprises des PECO recueilleront les fruits de l’embellie chez leurs principaux partenaires commerciaux internationaux. Il faudra du temps avant que les contraintes qui pèsent sur l’activité des entreprises se relâchent et que les résultats financiers reflètent cette amélioration. Ainsi, en 2014, le nombre de défaillances devrait baisser en Pologne et en Lettonie. La tendance haussière risque de perdurer dans le reste de la région, notamment, en République tchèque, en Hongrie, en Roumanie, en Croatie et en Slovénie qui connaîtront les plus fortes augmentations.

 

[1] PECO : pays d’Europe centrale et orientale

[2] Taux de défaillances : le rapport entre le nombre de défaillances du secteur et le nombre d'entreprises dans ce secteur

Download this press release : Défaillances en Europe centrale et orientale en 2013: Un niveau recor... (320,67 kB)
5 juin 2014

Plus d'1/3 de la valeur totale des créances impayées après 90 jours reste irrécouvrable

Le Baromètre Atradius des Pratiques de paiement B2B, est réalisé auprès de 3 000 entreprises dans 14 pays d'Europe occidentale. En plus des pratiques de paiement, l'étude s'intéresse aux défis auxquels sont confrontées les entreprises pour maintenir leur rentabilité, à leurs procédures de credit management et à leurs délais de paiement .

 

Laurent Leloup
Laurent Leloup
En moyenne, 1,7% des créances B2B restent définitivement irrécouvrables et 37,6% des créances B2B restent impayés à échéance.

En France, ce taux atteint 2,1% et les retards représentent 40% des créances B2B. Point positif le DSO moyen se situe à 42 jours contre 52 jours en moyenne en Europe occidentale.

Selon les entreprises interrogées pour le dernier Baromètre Atradius des pratiques de paiement réalisé en Europe Occidentale, en moyenne, 37,6% en montant de leurs créances B2B restent impayés à l'échéance, dont 4,9% accusent un retard de plus de 90 jours.

Par ailleurs, l'étude fait apparaître qu'en moyenne, 1,7% des créances B2B et près de 35% des retards en montant de plus de 90 jours restent définitivement irrécouvrables. Ces résultats soulignent l'importance de la gestion du poste clients et de la mise en place d'un credit management structuré et proactif. Les entreprises interrogées en Turquie, en Espagne, au Royaume-Uni et en Italie sont les plus touchées par les retards de paiement et les pertes qui en résultent. Au Danemark, en Suède, en Autriche et, étonnamment, en Grèce les entreprises interrogées déclarent être très vigilantes sur le suivi de l'encaissement de leurs créances.

Le Baromètre Atradius des Pratiques de paiement B2B, est réalisé à partir d'entretiens menés avec environ 3 000 entreprises dans14 pays d'Europe occidentale. En plus des pratiques de paiement, l'enquête s'intéressent aux défis auxquels sont confrontées les entreprises pour maintenir leur rentabilité, à leurs procédures de credit management et à leurs délais de paiement.

La 1ère cause des retards de paiement invoquée est le manque de trésorerie

En France, cette cause de retard de paiement arrive également en 1ère position (47,5% des clients domestiques et 33% des clients export), reflétant les tensions de trésorerie combinées à une situation économique ralentie. On note également que la complexité des procédures de paiement est relevée par 33% des entreprises interrogées, le taux le plus élevé de l'ensemble des pays étudiés.

la première cause de retard de paiement invoqué par les clients est l'insuffisance de trésorerie (46,6% des clients domestiques et 35,2% des clients étrangers). En retardant leurs règlements, les clients domestiques et étrangers utilisent ainsi les délais de paiement comme source de financement de substitution. Cela se produit le plus fréquemment avec les clients domestiques en Allemagne (50,3%) mais également avec les clients étrangers au Danemark (42,4%). La faillite d'un client domestique a été citée par 20,53% des entreprises interrogées. Une procédure de paiement compliquée ou un système d'opération bancaire inefficace ont été indiqué par environ 25% des sondés concernant les raisons des retards de paiement de leurs clients étrangers.

Les entreprises ont pris des mesures pour renforcer leur credit management

En France, 73,3% des entreprises interrogées déclarent avoir pris des mesures de credit management, un taux nettement supérieur à la moyenne d'Europe occidentale de 58,1%.

La 1ère mesure prise concerne la mise en place de procédures de recouvrement structurées avec des relances intensifiées citée par 48,5% des entreprises françaises interrogées. Là encore un taux supérieur à la moyenne de l'Europe occidentale de 46,2%.

Beaucoup d'entreprises interrogées indiquent prendre des mesures xfru.it/uLnXF3

L'étude complète avec les résultats du Printemps 2014 du Baromètre Atradius des pratiques de paiement en Europe occidentale est disponible dans la rubrique Publications du site Internet Atradius.fr

Laurent Leloup

 

16 mai 2013

Défaillances d'entreprises : une croissance douloureuse pour le TRM au premier trimestre 2013

Défaillances d'entreprises : une croissance douloureuse pour le TRM au premier trimestre 2013
Par Benoit Barbedette | L'Officiel des Transporteurs |29/04/2013| Avec 893 procédures judiciaires dont 767 liquidations directes, le premier trimestre 2013 marque un tournant pour le transport routier. L'augmentation des chiffres par rapport à 2012 témoigne...
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3 mars 2014

Recouvrement plus facile dans l'UE

Les entreprises et les citoyens qui recouvrent des dettes au sein des frontières de l'UE pourraient demander le gel du compte bancaire d'un débiteur, selon un projet législatif conclu avec le Conseil et adopté en commission des affaires juridiques.

 

Laurent Leloup
Laurent Leloup
L'ordonnance européenne de saisie conservatoire des comptes bancaires (OESC) devrait être plus rapide et moins chère que les procédures nationales. Le Parlement a modifié la proposition pour empêcher les abus et protéger les débiteurs présumés.

"Le règlement permet aux prêteurs d'avoir recours à une procédure efficace et uniforme pour obtenir une OESC dans les mêmes conditions dans tous les États membres. De plus, une OESC délivrée dans un pays de l'UE pourra automatiquement être reconnue dans tous les autres États membres", a déclaré Raffaele Baldassare (PPE, IT), le député responsable de la législation au Parlement européen.

"La nouvelle procédure aidera à réduire les frais d'avocat et les coûts de traduction, notamment grâce à l'utilisation de formulaires standards. Elle permettra à un prêteur de ne pas devoir engager un avocat supplémentaire pour chaque juridiction étrangère où une ordonnance de saisie est demandée", a-t-il ajouté.

Le règlement proposé permettrait aux entreprises et aux citoyens de l'UE de délivrer une ordonnance via une banque afin de bloquer le compte bancaire d'un débiteur situé dans un autre État membre. Ces procédures seraient plus rapides et moins coûteuses que celles des tribunaux nationaux. Selon la Commission, ce projet permettrait aux entreprises européennes de recouvrer quelque 600 millions d'euros par an.

Effet de surprise
Les nouvelles dispositions permettraient aux prêteurs de délivrer une OESC avant que le débiteur soit informé, afin de provoquer un effet de surprise qui empêcherait le débiteur de déplacer les fonds dans un autre pays. Une OESC pourrait être délivrée avant qu'un tribunal se prononce sur le recouvrement ou non de la dette.

Lutter contre les abus
Pour éviter les abus, les députés de la commission http://xfru.it/SL2kS3

Source : Parlement Européen – 11/02/2014

Laurent Leloup
10 mars 2014

2013 : les défaillances d’entreprises françaises ont dépassé le pic enregistré en 2009

En un an, augmentation de +5,3% du nombre de défaillances et de +10,4% de leur coût financier

 

Laurent Leloup
Laurent Leloup
2013 : une année difficile pour les entreprises

Les défaillances d'entreprises sont fortement reparties à la hausse en 2013. Leur nombre et le coût financier qu’elles provoquent sont supérieurs à ceux de 2009, au plus fort de la crise. Ainsi, au total, 63 452 entreprises françaises ont été touchées en 2013, soit une augmentation de +5,3% par rapport à 2012 et +0,4% par rapport à 2009.

Ces évolutions préoccupantes méritent toutefois d’être nuancées. Tout d’abord, le taux de défaillances [1] reste stable (0,8%) et proche de celui d’avant-crise, grâce au nombre total d’entreprises toujours en progression. En outre, la hausse des défaillances en nombre est surtout marquée aux 2e et 3e trimestres alors que la fin de l’année enregistre une légère accalmie. Deux catégories d’entreprises sont particulièrement sujettes aux défaillances : celles de petites tailles (micro-entreprises +5,2%, TPE +5,8% et PME +8,2%) et les sociétés commerciales [2] qui représentent les deux tiers des défaillances. Enfin, la note positive vient du côté des ETI qui affichent une baisse de -4,9%, après une année 2012 particulièrement rude.

Le coût financier [3] associé aux défaillances atteint 4,82 milliards d’euros, en hausse de +10,4% par rapport à 2012 et de +2,5% par rapport à 2009. Celui-ci a dépassé son niveau de 2009 sous le poids des nombreuses défaillances des sociétés commerciales, beaucoup plus coûteuses (120 000 euros en moyenne) que celles des entrepreneurs individuels (2 500 euros en moyenne). Il est à noter que la hausse spectaculaire du coût depuis 2012 s’explique en partie par les défaillances de deux grands acteurs, FagorBrandt et Mory Ducros.

Le coût social progresse de +6,3% en un an, avec 211 716 emplois menacés, un niveau très proche de celui de 2009 (213 665 cas).

 

2013 : les défaillances d’entreprises françaises ont dépassé le pic enregistré en 2009
La distribution et l’électronique-informatique particulièrement touchés

Les secteurs de la distribution et de l’électronique-informatique affichent une forte hausse tant en nombre (+9,7% et +9,2% respectivement) qu’en coût financier (+60,2% et +46,3% respectivement), conséquence d’une demande atone et de la concurrence de l’e-commerce. Le secteur des services aux particuliers souffre aussi, bien que dans une moindre proportion (+6,1% en nombre et +6,3% en coût), car les ménages et les entreprises spécialisées restreignent leurs dépenses.

Contrairement à l’Allemagne et aux Etats-Unis, pas d’amélioration des défaillances en France en 2014

Pour 2014, Coface anticipe une stabilisation des défaillances en France à un niveau élevé. Le mois de janvier donne de timides signes d’optimisme, avec une baisse du nombre de défaillances de -7,7% et de leur coût de -6% par rapport à janvier 2013. Mais pour que les défaillances baissent de manière significative, il faudrait une croissance d’au moins +1,6%. Or cette année, la croissance française n’atteindra pas ce rythme (prévue à +0,6% par Coface), contrairement à d’autres économies avancées.

La situation est plus favorable pour les entreprises en Allemagne et aux Etats-Unis, où le minimum de croissance requis (1,7% et 2,4% respectivement) devrait être atteint cette année et ainsi permettre une amélioration notable sur le front des défaillances.

[1] Taux de défaillance : rapport entre le nombre de défaillances et le nombre d’entreprises
[2] Sociétés commerciales sont dotées d’une personnalité juridique et regroupent principalement les SA, SARL et sociétés civiles (par opposition aux entreprises individuelles qui sont propriété d’une personne physique)
[3] Coût financier des défaillances : cumul de l’encours fournisseurs de chaque entreprise défaillante

Téléchargez ci-dessous “Le Panorama Défaillances complet + focus sur le transport routier en France” (PDF 8 pages)


Laurent Leloup

defail_02_2014_fr_rvb_ok.pdf Defail-02-2014-FR-RVB-OK.pdf  (278.68 Ko)

30 janvier 2012

Crédit et risque client : les enjeux du contrôle de solvabilité

Crédit et risque client : les enjeux du contrôle de solvabilité
12/01/2012 | Damien Barthélémy | Il est aujourd’hui essentiel d’avoir une réputation de solvabilité saine, particulièrement quand les conditions d’obtention de crédits sont exigeantes. La notion de prêt responsable est à l’ordre du jour, et les banques...
6 mai 2013

Défaillances d'entreprises : les grosses PME en manque de financement

Défaillances d'entreprises : les grosses PME en manque de financement
Par Frédéric Schaeffer, journaliste | 23/04/2013 Les défaillances d'entreprises de plus de 50 salariés ont augmenté de 12 % par rapport à un premier trimestre 2012 qui avait déjà été très sinistré. Principale cause de défaillance : le manque de financement....
15 novembre 2013

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Actualité: Septembre 2013 | PDF Mise en ligne le 08/11/2013 > Télécharger les séries présentées dans le document À fin août, le nombre de défaillances progresse de 4,2 % sur 12 mois À fin août, en cumul sur 12 mois glissants, le nombre de défaillances...
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Défaillances d'entreprises : une éclaircie en 2014 ?

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in Share 6 Sur les quatre premiers mois de l'année, les défaillances d'entreprises françaises ont enregistré une baisse de 2,3 % à 22 601 cas. Quelques lueurs d’espoir apparaissent, mais « il faut être prudent », a prévenu Yves Zlotowski, économiste en...
15 juillet 2014

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Les défaillances d'entreprises ont reculé de 4,1% au printemps, selon Altares. L'embellie se fait franchement sentir du côté des PME. Enfin une bonne nouvelle pour les entreprises ! Après un mauvais début d'année et un niveau historiquement élevé sur...
20 mars 2015

Baromètre Altares pour Le Dauphiné Libéré

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Les défaillances d'entreprises à début mars 2015 * Comparaison de volumes sur une année, pris à un mois d’écart. Ici, le volume de début mars 2014 à début mars 2015 est comparé à celui de début février 2014 à début février 2015. En ce début mars, le nombre...
14 octobre 2013

Progression des défaillances supérieure à 4% depuis mai 2013

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A fin août 2013, sur 12 mois glissants, Coface Services comptabilise près de 62 000 défaillances, en hausse de 4,6% par rapport à 2012. Cette forte augmentation est enregistrée depuis mai 2013. La typologie des entreprises défaillantes varie peu. Il s’agit...
12 décembre 2013

Défaillances d’entreprises : alerte rouge dans la construction

Défaillances d’entreprises : alerte rouge dans la construction
Une défaillance d'entreprise sur trois en France frappe la chaîne de la construction, et la situation devrait s'aggraver en 2014 dans le secteur du BTP, d'après une étude alarmante de l’assureur-crédit Coface publiée ce jeudi 21 novembre. Explications...
3 février 2014

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2013 : Flambée de défaillances
A l’instar du chômage, loin de s’inverser, la courbe des défaillances est en nette hausse en 2013** et effleure le record historique de 2009 (56838 procédures). Les tribunaux de commerce Français ont, en effet, enregistré 56621* défaillances d’entreprises...
6 mars 2014

La situation de la trésorerie d'exploitation est en voie d'amélioration

 

C'est la conclusion de l'enquête réalisée auprès des trésoriers d'entreprise - Enquête AFTE / Coe-Rexecode : Solde d'opinion sur la trésorerie d'exploitation de Février 2014.

 

Laurent Leloup
Laurent Leloup
En février 2014, pour la première fois depuis début 2012, les trésoriers des grandes entreprises et des ETI sont plus nombreux à décrire leur situation de trésorerie d’exploitation comme "aisée" qu'à la juger difficile. Au-delà de faibles mouvements de court terme, cette appréciation est orientée à la hausse depuis mi-2013.

 

Question : Comment jugez-vous actuellement la situation de la trésorerie d'exploitation (flux) de votre entreprise : aisée, normale ou difficile ?
Question : Comment jugez-vous actuellement la situation de la trésorerie d'exploitation (flux) de votre entreprise : aisée, normale ou difficile ?
Principaux résultats de l’enquête :
- Une tendance à l’amélioration de la situation de trésorerie d’exploitation se dessine.
- Cette amélioration ne s’observe pas au niveau des trésoreries globales.
- Les prix des matières premières comme l’évolution du taux de change ont un impact de plus en plus faible sur les trésoreries.
- L’appréciation des délais de paiement des clients oscille peu depuis un an. Ces délais s’allongent.
- Les marges sur les crédits bancaires sont jugées quasiment stables.
- Les recherches de financement sont redevenues normales. Elles ne sont pas encore jugées aussi aisées qu'en 2006.

Pour aller plus loin lisez l’analyse de 9 pages téléchargeable ci-dessous.



Laurent Leloup

enquete_tresorerie_afte_coe_rexecode.pdf enquete-Tresorerie-AFTE-Coe-Rexecode.pdf  (356.78 Ko)

24 mars 2014

Le Conseil constitutionnel malmène le droit des procédures collectives

 

Les procédures collectives organisent un parcours judiciaire duquel l’entreprise doit sortir par le haut, tous les acteurs de cette procédure étant censés rechercher comment sauvegarder des emplois. Avant d’imaginer qu’une entreprise puisse être placée en liquidation judiciaire, véritable constat d’échec, le législateur a prévu de lui faire franchir certaines étapes destinées à tout mettre en œuvre pour atteindre l’objectif sacré de « la poursuite de l’activité économique et le maintien de l’emploi ».

La loi n°2005-845 du 26 juillet 2005 de sauvegarde des entreprises, entrée en vigueur le 1er janvier 2006, et son décret d’application n°2005-1677 du 28 décembre 2005 ont profondément modernisé le droit des entreprises en difficulté. Le code de commerce privilégie désormais la prévention et la négociation.

La loi a notamment institué, aux articles L. 620-1 à L. 627-4 du code de commerce, une « procédure de sauvegarde » qui peut être engagée par le chef d’entreprise avant que ne soit constatée la cessation de paiement. Cette procédure est destinée à faciliter la réorganisation de l’entreprise dont la situation est compromise afin de permettre la poursuite de l’activité économique et le maintien de l’emploi.

La loi a également fait disparaître le règlement amiable pour laisser la place à une procédure de conciliation, prévue à l’article L. 611-4 du code de commerce, qui permet l’ouverture d’une conciliation entre l’entreprise et ses principaux créanciers. Cette procédure peut être ouverte en l’absence de cessation des paiements ou même en cessation des paiements, si celle-ci a moins de 45 jours.

Et lorsque ces mesures préventives n’ont pas porté leurs fruits, alors les procédures habituelles de redressement judiciaire voire de liquidation judiciaire peuvent être engagées, avec un sentiment d’amertume. La loi a même introduit un mécanisme de liquidation judiciaire simplifiée, permettant de clore rapidement le processus, et ainsi d’offrir la possibilité au dirigeant de rebondir au plus vite.

La loi a donc organisé ces étapes d’un parcours qui relève du parcours du combattant et elle a permis aux tribunaux de commerce de passer d’une étape à l’autre. Ainsi, dans le cadre de l’exécution du plan de sauvegarde ou du plan de redressement judiciaire, le tribunal compétent, pour statuer sur les incidents survenus à l’occasion de l’exécution de ce plan, a la faculté de se saisir d’office aux fins de prononcer la résolution de ce plan et d’ouvrir une « nouvelle procédure », selon le cas, de redressement judiciaire ou de liquidation judiciaire. La loi a ainsi reconnu au même tribunal, celui qui a mis en place le plan, la faculté d’introduire de sa propre initiative une nouvelle instance distincte de celle à l’issue de laquelle le plan de sauvegarde ou le plan de redressement a été arrêté.

Cette possibilité, pour le même tribunal, d’arrêter un plan de sauvegarde ou un plan de redressement, puis de se saisir lui-même et de décider de passer à l’étape suivante du parcours a été contestée récemment par un chef d’entreprise devant la Cour de cassation (Cass. com., 20 déc. 2013, n° 2013-372 QPC). Ce chef d’entreprise a soulevé une question prioritaire de constitutionnalité (« QPC » pour les initiés…), laquelle  http://blogs.lentreprise.com/droit-des-affaires/2014/03/10/le-conseil-constitutionnel-malmene-le-droit-des-procedures-collectives/

14 mai 2014

Poussée des défaillances dans l’IT au 1er trimestre

 

28.04.14 - Johann Armand   

Cessation_dactivite2Avec 354 procédures collectives répertoriées par Ellisphere*, les défaillances sont reparties nettement à la hausse au premier trimestre dans le secteur IT. Sur le seul secteur informatique, la hausse est de 18,5% par rapport au premier trimestre 2013.

En incluant les télécoms (qui sont en baisse de 46%), la sinistralité progresse tout de même de 10,6% au premier trimestre. Sur douze mois glissants, la hausse des défaillances atteint 3,9% sur l’ensemble du secteur et 6,5% sur les seules activités informatiques.

Ce sont les sociétés enregistrées dans la catégorie Conseil en systèmes et logiciels informatiques, avec 95 procédures (+25%) et les sociétés de Programmation informatique, avec 67 procédures (+6,3%) qui fournissent le plus gros contingent de défaillances sur la période. Les plus fortes hausses de défaillances sur le trimestre reviennent aux secteurs Autres activités informatiques (+116,7%) et Réparation d’ordinateurs et d’équipements périphériques (+50%).

Parmi les principales défaillances répertoriées sur la période (voir tableau ci-dessous), on retrouve les différentes sociétés du groupe Arcan (Locabureau, Lorinfo, Arcan IDF et Arcan Finance), la société de services normande spécialisée dans la dématérialisation Urgence Informatique Europe (RJ), le grossiste en périphériques et consommables informatiques Xtrium (liquidation), ou encore l’éditeur spécialisé dans les logiciels broadcast SGT.

Raison sociale Chiffre d'affaires en K€ Effectif Total du passif en K€ Départmt Code Ape
UIE URGENCE INFORMATIQUE EUROPE 9 810 50 4 299 27 6311Z
XTRIUM 7 340 19 2 602 95 4651Z
LOCABUREAU 6 623 28 4 161 57 4651Z
INGENIERIE INFOGRAPHIQUE 6 271 12 2 026 06 6202A
ARCAN IDF 5 525 13 2 104 92 4651Z
LORINFO SAS 5 420 31 3 291 54 4651Z
SGT 5 020 47 4 742 77 5829C
SYS IN MOTION 4 878 20 4 494 75 6201Z
PSE PRINT SOLUTION ENTERPRISE 4 283 0 1 338 22 4651Z
ALCOM CONSULTING 3 582 16 2 066 92 6202A
ARCAN FINANCE 2 952 1 1 016 57 7733Z
INVENTAIRE SERVICES ET SYSTEMES 2 872 27 1 231 92 6311Z
AUREL INFORMATIQUE 2 739 12 751 93 6202A
JEK INFORMATIQUE ET SERVICES 2 417 44 1 356 75 6203Z
MAKINA CORPUS 2 398 20 1 932 31 6202A
EDEN INFORMATIQUE 2 395 2 893 93 6202A
I D VIDEO 2 226 12 1 199 92 6202A
EB CONSULTING 2 117 6 755 91 6202A
SHAFT 1 908 17 705 44 6201Z
OMNISOFT 1 898 25 710 94 6202A
FHM SOLUTIONS FRANCE 1 806 20 1 043 94 6202A
LEXIS NUMERIQUE 1 795 30 2 190 77 6201Z
DGH TECHNOLOGIES 1 713 5 350 14 4651Z
APPLICATION SYSTEMS PARIS 1 536 0 323 67 4651Z
SOCIETE GETEK 1 470 6 1 185 91 2620Z
BUREAUTIQUE FOURNITURES 1 425 9 343 29 4651Z
AXESS EUROPE 1 133 18 2 141 31 2630Z
C C MONDEVILLE 1 074 8 164 14 4741Z
X SCAN 1 059 20 496 27 6311Z
BENSE 1 022 15 253 13 6202A

 j.mp/Ra3D5Z

13 août 2014

Europe : interconnexion des registres d’insolvabilité

Europe : interconnexion des registres d’insolvabilité
La Commission européenne a lancé aujourd’hui l’interconnexion des registres nationaux d’insolvabilité à l’échelle de l’UE, en reliant entre elles les bases de données de sept États membres (Allemagne, Autriche, Estonie, Pays-Bas, République tchèque, Roumanie...
8 septembre 2014

L'Observatoire des défaillances* d'entreprises

L'Observatoire des défaillances* d'entreprises

Au plus près de l'actualité économique, votre site Score3 propose désormais un suivi mensuel des défaillances d'entreprises, par secteurs d'activités et par régions.

Evolution nationale des défaillances : http://www.score3.fr/defaillances.shtml

 11201220132014
Jan. 4971 5340 5238 5260
Fév. 4893 4924 4910 5380
Mars 5478 5033 4991 4939
Avril 4048 4169 4789 4895
Mai 5106 4366 4500 4234
Juin 4461 4612 4783 4881
Juil. 3924 4639 5095 4926
Août 1926 1856 1801 null
Sep. 5226 4897 5379 null
Oct. 4879 5678 5741 null
Nov. 4929 5067 4848 null
Déc. 3992 4488 4618 null
  2008200920102011201220132014
Jan. 4 098 4 797 4 778 4 971 5 340 5 238 5 260
Fév. 4 209 5 019 4 869 4 893 4 924 4 910 5 380
Mars 4 251 5 777 5 656 5 478 5 033 4 991 4 939
Avril 4 016 4 843 4 202 4 048 4 169 4 789 4 895
Mai 3 595 4 444 4 314 5 106 4 366 4 500 4 234
Juin 4 251 5 039 4 907 4 461 4 612 4 783 4 881
Juil. 4 020 4 645 4 202 3 924 4 639 5 095 4 926
Août 1 405 1 843 1 881 1 926 1 856 1 801
Sep. 5 199 5 957 5 318 5 226 4 897 5 379
Oct. 5 313 5 086 4 709 4 879 5 678 5 741
Nov. 4 787 5 029 4 752 4 929 5 067 4 848
Déc. 4 698 4 359 4 009 3 992 4 488 4 618
Total 49 842 56 838 53 597 53 833 55 069 56 693 34 515

*Jugements d'ouverture publiés au 1 Septembre 2014

4 septembre 2014

Les principales défaillances d’entreprises IT au 2e trimestre

 

Cessation_dactivite2Les défaillances d’entreprises IT ont connu une accalmie au deuxième trimestre après l’emballement du premier trimestre. Avec 323 procédures collectives répertoriées par Ellisphere*, leur nombre est en recul de 10% par rapport au deuxième trimestre 2013.

Pour rappel, ce nombre était en augmentation de 10,6% au premier trimestre. Sur les douze derniers mois, le nombre de procédures reste encore en hausse de 3% par rapport à la même période de l’année précédente.

La baisse des défaillances est particulièrement sensible sur les activités télécoms (-32% sur le trimestre), sur les activités de commerce de détail d’informatique (-25%) et sur le commerce de gros d’équipements informatiques (-28,6%). En revanche, avec 94 défaillances (soit 29,1% du total), en hausse de 10,6%, les activités de conseils continuent de souffrir. De même pour les activités de programmation avec 67 défaillances, en hausse de 11,7% sur le trimestre (voir tableau).

Le deuxième trimestre a été marqué par les procédures collectives de :

-       Overlap qui, après avoir fait l’objet d’un plan de cession le 10 octobre dernier, est passé en liquidation le 11 juin ;

-       Comiris Technologies. L’intégrateur spécialisé en vidéo-conférence (80 personnes pour un peu plus de 20 M€ de revenus annuels), qui était en redressement judiciaire depuis le 25 juin, est passé en liquidation le 29 juillet et fait l’objet d’un plan de cession depuis le 1er août ;

-       NCS (Networks & Communications Systems). L’intégrateur réseaux réalisant une vingtaine de millions d’euros de chiffre d’affaires et employant une soixantaine de personnes est en redressement judiciaire depuis le 28 mai dernier ;

-       ITech Global Systems, en liquidation depuis le 17 juin dernier. Cette société qui réalisait 4,5 M€ de chiffre d’affaires annuel avec un effectif d’une dizaine de personnes, était l’une des filiales de Clemount, la holding également propriétaire de l’intégrateur Ibex Ingénierie Informatique, liquidé en octobre 2013, et du broker Clessi, liquidé en mars dernier.

-       MTPI, l’une des entités services (développement d’applications Internet) du groupe Belink (8,3 M€ de CA en 2011), opérateur lyonnais spécialisé dans les solutions de dématérialisation. La société, qui compte une vingtaine de personnes pour un chiffre d’affaires annuel de 2,5 M€, est en redressement judiciaire depuis le 11 juin ;

-       Ideia. Cette société parisienne de conseil et de services en logiciels libres d’une trentaine de personnes et réalisant un chiffre d’affaires annuel de 2,5 M€, est en redressement judiciaire depuis le 22 mai ;

-       du grossiste en équipements informatiques Maty Services, 2,5 M€ pour un effectif de trois personnes. En liquidation depuis le 28 avril ;

-       Ocea Technologies. Ce VAR bordelais d’une quinzaine de salariés (pour 1,7 M€ de chiffre d’affaires) est en liquidation depuis le 7 mai. La société a semble-t-il mal digéré certains gros projets ERP.

-       La boutique du Téléphone, le magasin Club Bouygues Telecom de la zone commerciale Beaulieu Est de La Rochelle (1,7 M€ de CA), en redressement judiciaire depuis le 1er avril.

 

Répartition des défaillances d'entreprises IT au deuxième trimestre

 

http://www.channelnews.fr/expertises/conjoncture-a-marches/20781-les-principales-defaillances-dentreprises-it-au-2e-trimestre-.htmlDefaillances_juin_2014

20.08.14 - Johann Armand  

10 octobre 2013

Focus Secteur: Acier Métaux Atradius

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- France (1) Producteurs d'acier: Après une hausse modérée de 2,4% en 2011, la production française d'acier a chuté en 2012 de 2,5% en glissement annuel, d'après la World Steel Association. Ce déclin est dû principalement à la faiblesse de la demande...
18 février 2013

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2 mai 2013

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